🚚 Des livreurs pas ordinaires-Les ingrédients transporteurs en cosmétique

Allô, ​
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​Liposomes, exosomes, nanosomes, ethosomes… 
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Des mots savants ou de vrais game changers ?

Quand on les lit ou qu’ils nous sont présentés dans la description d’un produit, ils sont souvent nommés comme une révolution. 
Toutes les pubs télévisées ou sur les RS les annoncent comme des révolutions d’efficacité.
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Mais… est-ce réellement le cas ? 
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Pourquoi les marques et les fabricants de cosmétiques choisissent-ils, ces molécules ou plutôt ces transporteurs ? 
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Est-ce que tous les « -somes » se valent ? 
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Et surtout, est-ce qu’ils changent vraiment les résultats pour la peau ?
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C’est ce que tu vas découvrir aujourd’hui !

Ce qu’on appelle des « -somes », ce sont de microscopiques véhicules (souvent des bulles de matière grasse ou des structures ultra-fines) utilisés dans les cosmétiques pour transporter des ingrédients actifs là où ils peuvent vraiment faire une différence dans la peau.

🚚 On pourrait les comparer à des camions de livraison spécialisés :

• Certains sont petits et rapides (nanosomes),
• D’autres sont super flexibles et passent par les petits chemins (transfersomes),
• D’autres encore sont plus costauds, capables de traverser les murs (ethosomes),
• Et les plus intelligents ? Ce sont les exosomes : ils ne livrent pas juste un colis… ils donnent un message à la cellule pour lui dire quoi faire.

Chaque « -somes » a été inventé pour améliorer la performance des soins et produits, protéger les ingrédients fragiles et éviter qu’ils restent coincés à la surface de la peau. 
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​❗️Sans eux, certains actifs ne serviraient presque à rien.

Les « -somes » entrent en scène.​
Ils ont été conçus pour répondre à un défi précis : 
– améliorer la pénétration, 
– stabiliser un actif fragile, 
– atteindre une couche spécifique de la peau, 
– déclencher une réponse cellulaire. 
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Certains sont discrets et efficaces, d’autres spectaculaires et technologiques.

Ensemble, ils forment un arsenal de microvéhicules qui révolutionnent la façon dont les produits agissent réellement sur la peau.

🔍 Voici les 7 TYPES de « -somes » les plus utilisés (ou prometteurs) en cosmétique :

Inventé dans les années 60 et intégré aux cosmétiques dès les années 80. Un liposome, c’est une petite bulle composée d’une double couche (ou plus) de phospholipides (multilamélaire) qui ressemble à une cellule humaine.

• Pourquoi on les utilise : Pour protéger les ingrédients fragiles (vitamine C, rétinol, peptides) et les amener dans les couches plus profondes de l’épiderme.
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• Ingrédients transportés : hydrosolubles ou liposolubles.
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• ✅ Avantages :​
  – améliore la biodisponibilité de l’actif,
  – favorise une pénétration contrôlée,​
  – stabilise les ingrédients sensibles à l’air et à la lumière.
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• ❗️Inconvénients :​
  – coût de production élevé,
  – peut être instable selon le pH ou la température.
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• Est-ce « clean » ? Oui. Les liposomes sont généralement considérés comme sûrs et biocompatibles.
• Pourquoi ont-ils été inventés ? Pour mimer la membrane cellulaire et améliorer l’efficacité des substances actives sans injection.
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• Valeur marketing ? Forte : bien connu du public professionnel et parfois mentionné sur les étiquettes.

C’est un liposome… en version nano. Leur taille est réduite (environ 100 nm), ce qui leur permet de traverser la couche cornée plus facilement.

• Pourquoi on les utilise : Pour augmenter la profondeur de pénétration, surtout pour des ingrédients à effet ciblé (anti-âge, taches pigmentaires).
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• Ingrédients transportés : souvent les mêmes que les liposomes, mais avec une efficacité accrue.
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• ✅ Avantages :​
  – pénétration améliorée,
  – dose plus faible nécessaire pour une efficacité égale,
  – libération prolongée possible.
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• ❗️Inconvénients :​
  – très sensible à l’oxydation,
  – fabrication coûteuse,
  – potentiels risques si mal formulés (nanomatériaux mal maîtrisés).
• Est-ce « clean » ? Débat. En Europe, certaines formes de nanomatériaux sont régulées. Si le fabricant le mentionne, il doit prouver leur innocuité.
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• Pourquoi ont-ils été inventés ? Pour contourner la barrière cutanée et améliorer les performances topiques.
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• Valeur marketing ? Moyenne à élevée, selon la clientèle (moins connue du public que les liposomes).

Pas juste un transporteur : un communicateur cellulaire.
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Les exosomes sont des nanovésicules naturellement sécrétées par les cellules, porteuses de protéines, ARN messagers, microARN, facteurs de croissance…

🧬 C’est quoi l’ARN messager ?​
Pas de panique : en cosmétique, l’ARN messager contenu dans les exosomes ne modifie pas l’ADN. Il agit simplement comme un petit message temporaire, envoyé aux cellules de la peau pour leur dire : 
« Répare-toi, régénère-toi, produis plus de collagène. »
C’est comme un coach cellulaire… pas un généticien.

• Pourquoi on les utilise : Pour stimuler la communication cellulaire, régénérer les tissus, réduire l’inflammation, réparer les dommages.
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• Ingrédients transportés : Ce ne sont pas des « contenants » au sens classique, mais plutôt des cocktails bioactifs.
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• ✅ Avantages :​
  – effets visibles sur l’élasticité, la texture, les rougeurs,
  – puissant effet anti-inflammatoire et réparateur,
  – grande affinité avec la peau.
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• ❗️Inconvénients :
  ​– très coûteux à produire,
  – issus de cultures cellulaires (ce qui peut freiner certains labels « clean beauty »),
  – potentiel flou sur la source (humaine, végétale, synthétique).
• Est-ce « clean » ? En cosmétique, les exosomes sont acellulaires, mais certaines puristes clean beauty les évitent à cause du flou autour des sources.
  (Acellulaire = sans cellule vivante.)​
  ​Cela signifie qu’ils ne contiennent aucune cellule vivante, ni noyau, ni ADN complet. 
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• Pourquoi ont-ils été utilisés ? Inspirés de la médecine régénérative. L’idée : recréer les effets de la signalisation cellulaire, sans thérapie invasive.
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• Valeur marketing ? Très forte dans les soins haut de gamme ou « skin tech ».

• Définition : Ce sont des liposomes enrichis en éthanol (jusqu’à 30-40%), ce qui modifie la structure des lipides cutanés pour faciliter la pénétration transépidermique.
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• Pourquoi on les utilise : Pour des formules qui doivent absolument traverser la barrière cutanée rapidement (ex. actifs anti-taches, anti-inflammatoires).
  Très utilisés dans les produits topiques inspirés de la dermopharmacie.
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• Ingrédients transportés : Vitamine C, acide férulique, acide tranexamique, acide salicylique, agents dépigmentants.
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• ✅ Avantages :​
  – Très forte pénétration,
  – Bonne stabilité,
  – Meilleure diffusion que les liposomes classiques.
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• ❗️Inconvénients :​
  – Peut être irritant pour les peaux sensibles (à cause de l’alcool),
  – Moins « glamour » sur le plan marketing.
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• Est-ce « clean » ?​
  Accepté dans la plupart des chartes clean si la teneur en alcool est bien formulée et justifiée.
  ​À éviter pour les peaux sensibilisées ou facilement irritables
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• Valeur marketing ?​
  Moyenne. L’argument se défend auprès des pros, moins auprès du grand public.

• Définition : Systèmes de vésicules ultra-déformables, capables de se faufiler dans les interstices de la peau sans l’abîmer.
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• Pourquoi on les utilise : Pour transporter des molécules volumineuses ou hydrophiles (ex. acide hyaluronique de haut poids moléculaire) qui ont du mal à pénétrer seules.
  Très utilisés dans les soins anti-âge.
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• Ingrédients transportés : Peptides, enzymes, acides aminés, acide hyaluronique haut PM.
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• ✅ Avantages :​
  – Excellente pénétration même pour grosses molécules,
  – Moins d’irritation à comparer aux ethosomes,
  – Pénétration profonde sans injection.
• ❗️Inconvénients :​
  – Moins stables que les liposomes,
  – Peu connus donc peu valorisés en marketing.
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• Est-ce « clean » ? Oui, en général. Composés de phospholipides et d’agents assouplissants doux (comme des agents hydratants ou acides gras).
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• Valeur marketing ? Faible auprès du public, fort potentiel auprès des esthéticiennes formées ou dans les soins pros en cabine.

• Définition : Vésicules synthétiques (non-phospholipidiques) qui imitent les liposomes, mais sont plus stables et moins coûteux à produire.
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• Pourquoi on les utilise : Pour intégrer une technologie d’encapsulation sans les coûts élevés des liposomes, surtout dans les gammes moyen de gamme.
  Moins sensibles à l’oxydation.
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• Ingrédients transportés : Vitamine C, niacinamide, zinc, agents matifiants, antioxydants.
• ✅ Avantages :​
  – Moins chers à produire,
  – Excellente stabilité dans le temps,
  – Pénétration contrôlée sans irritation.
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• ❗️Inconvénients :​
  – Moins « naturels » (car souvent composés de tensioactifs synthétiques),
  – Peu reconnus du grand public,
  – Moins efficaces que les liposomes sur certains actifs fragiles.
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• Est-ce « clean » ? Pas toujours. Certains tensioactifs utilisés peuvent être jugés trop chimiques selon les chartes de clean beauty (cela dépend des excipients).
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• Valeur marketing ? Faible, mais très utilisés dans des produits qui veulent rester accessibles avec une bonne performance.
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• Définition : Vésicules formées par des polymères amphiphiles, donc ultra-stables.
  Encore peu présents en cosmétique traditionnelle, mais beaucoup utilisés en dermopharmacie.
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• Pourquoi on les utilise : Pour créer des formules très stables dans le temps, avec une libération contrôlée de l’actif.
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• Ingrédients transportés : Acide salicylique, peptides, agents dépigmentants.
• ✅ Avantages :​
  – Haute stabilité,
  – Action prolongée,
  – Libération ciblée.
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• ❗️Inconvénients :​
  – Sont souvent perçus comme « synthétiques »,​
  – Pas valorisables dans une stratégie marketing green,
  ​– Encore peu de données cliniques en cosmétique.
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• Est-ce « clean » ? Pas selon les critères des lignes naturelles ou bio. Acceptés dans la dermocosmétique, pas toujours dans la cosmétique naturelle.
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• Valeur marketing ? Faible à grand public. Très bien reçu dans l’univers médical ou hautement technique.
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Le terme « multilamellaire » fait référence à la structure en plusieurs couches concentriques, un peu comme un oignon ou une poupée russe.

Dans le cas des liposomes multilamellaires, par exemple :

• Il ne s’agit pas d’une seule petite bulle,
  ​
• mais de plusieurs membranes lipidiques superposées, séparées par des couches d’eau,
  ​
• ce qui permet d’encapsuler plus d’ingrédients, de protéger des actifs sensibles à différents niveaux, et de prolonger la libération dans la peau.

• Meilleure stabilité des actifs hydrosolubles et liposolubles.
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• Libération progressive : parfait pour les ingrédients qui doivent agir dans le temps (ex. : rétinol, vitamine C, peptides).
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• Effet renforcé sur les peaux sèches : les couches lipidiques peuvent mimer les lipides du ciment intercellulaire.

👉 Donc, quand tu vois le mot « liposome (-somes) multilamellaire » dans un produit, tu peux te dire :
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​« C’est une formule pensée pour durer, pour pénétrer en douceur, et pour préserver les actifs du stress extérieur. »

💡 Le concept multilamellaire ne s’applique pas uniquement aux liposomes, même si c’est chez eux qu’il est le plus fréquent et étudié.

Ce type de structure peut s’appliquer à d’autres vésicules lipidiquesque les liposomes, comme :

• Niosomes​
  → Certains sont aussi multilamellaires, avec plusieurs couches de tensioactifs non ioniques.
  → C’est une façon de rendre ces systèmes plus stables ou d’enrichir la capacité de transport.
• Transfersomes​
  → Généralement unilamellaires (une seule couche), car leur efficacité repose sur leur flexibilité. Mais des versions hybrides existent avec structures multi-couches modérées.
• Polymérosomes​
  → Peuvent aussi adopter des structures multicouches, mais c’est moins courant (et plus complexe à fabriquer).

❗️Mais attention :

• Exosomes, nanosomes, et ethosomes sont presque toujours unilamellaires (1 seule couche lipidique).

• ​Pourquoi ? Parce qu’ils misent sur la vitesse, la diffusion ciblée ou la communication cellulaire rapide — pas sur une libération progressive.

Le terme multilamellaire s’applique surtout aux systèmes conçus pour stabiliser, protéger, et délivrer lentement.

C’est quoi un liposome exactement ?​
🫧 C’est une microbulle inspirée des cellules humaines, qui permet de transporter des ingrédients actifs plus profondément dans la peau pour de meilleurs résultats.

Est-ce que les exosomes sont dangereux ou bizarres ?​
😳 Non, en cosmétique ils ne contiennent pas de cellules vivantes. Ce sont des fragments bioactifs qui aident à réparer et régénérer la peau.

Pourquoi ce produit coûte plus cher ?​
🤑 Parce que les technologies comme les liposomes ou exosomes coûtent plus cher à produire, mais elles garantissent que l’ingrédient actif agit au bon endroit, au bon moment.

Est-ce que ces molécules sont naturelles ?​
🌿 Certains systèmes d’encapsulation sont très naturels (liposomes), d’autres sont synthétiques, mais sécuritaires. Ce qui compte, c’est la sécurité, l’efficacité, et la tolérance sur la peau.

Est-ce que je vais voir une vraie différence sur ma peau ?​
⚡️ Oui, surtout si tu as une peau plus épaisse, mature ou abîmée. Les ingrédients encapsulés pénètrent mieux et travaillent plus longtemps dans la peau.

Est-ce que c’est pour tous les types de peau ?​
😊 En général oui, mais certains systèmes comme les ethosomes (à base d’alcool) peuvent ne pas convenir aux peaux sensibles. 
D’où l’importance du bon choix.

Avant de te laisser, je me suis dit qu’un petit tableau facile à imprimer t’aiderait sûrement à réviser tout ça ! 😉

C’est tout pour aujourd’hui. N’hésite pas à m’envoyer tes questions ou me donner des idées de sujets dont tu aimerais que je parle.
​
Cela m’aide à vraiment bien répondre à tes besoins.
​
À très bientôt,
helene 💛

​PS 

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